Zelensky : Arrêtez Poutine ou ce sera la troisième guerre mondiale.

Economie & Finance

“Si nous n’arrêtons pas Poutine, à part… l’Union européenne. Il y aura le La troisième guerre mondiale parce que lorsqu’il envahira la Pologne, les pays baltes, personne ne pourra rien faire, mais tout le monde entrera en guerre. Tout le monde. Même l’Italie, la France, les États-Unis, l’Angleterre” : le président ukrainien a déclaréVolodymyr Zelenskyinterviewé par Bruno Vespa sur Porta a Porta, diffusé ce soir sur Rai 1.

“Tous les États membres de l’OTAN seront contraints d’entrer en guerre pour prouver que l’OTAN existe réellement et qu’elle fonctionne, et ce n’est pas tout : si l’un des dirigeants des États de l’OTAN ne veut pas entrer en guerre, sa société ne le lui permettra pas. Ils leur diront : mais vous nous avez menti, toutes ces années il n’y a pas eu de sécurité dans le monde, vous êtes un menteur et vous avez capitulé, et quand la botte russe est venue à vous, ils ont jeté leurs mains. C’est pourquoi il y aura une troisième guerre mondiale, si les sociétés d’un État plutôt qu’un autre disent de ne pas apporter leur soutien et leurs armes à l’Ukraine. Car dès que l’Ukraine tombera, Poutine sera sur le territoire de l’OTAN et conquerra d’autres États”, a-t-il ajouté.

Il est peu probable que la Russie aille jusqu’à avoir recours à une arme nucléaire tactique en Ukraine, le président Zelensky a déclaré plus tard…

L’avertissement de Poutine sur la réduction des exportations

Pendant ce temps, Vladimir Poutine a prévenu que la Russie pourrait devoir limiter certains exportations pour maintenir des réserves alimentaires stables pendant la période hivernale. Il n’a toutefois pas fourni de détails précis.

On ne sait pas non plus si le président russe suggérait que Moscou, qui a coupé les livraisons de gaz à certains des pays qu’il considère comme “hostiles”, pourrait limiter les exportations des principaux gaz à effet de serre. denrées alimentaires comme le blé.

Dans des déclarations télévisées, M. Poutine a affirmé que l’industrie agricole contribuait largement à la résilience de l’économie russe. Nous devons, bien sûr, permettre à ce secteur de fonctionner”, a-t-il souligné.