Mps, les alternatives à l’augmentation de capital. C’est une vente d’obligations, elles rapportent 370%.

Economie & Finance

Mps cède 1,6% à 22,42 euros à Piazza Affari pour 224 millions. Pendant ce temps, le obligation subordonnée arrivant à échéance en 2028Le lundi 10 octobre, l’émission la plus liquide du marché (750 millions d’euros) a été cotée à 48,3 cents, tandis que l’émission la plus liquide du marché a été cotée à 50 cents. rendement à l’appel (18 janvier 2023, date à laquelle la banque devrait appeler l’émission, si elle dispose de liquidités suffisantes) a encore augmenté depuis vendredi et les rendements d’aujourd’hui 370%.

Le marché espère toujours une coupe de cheveux d’obligations subordonnées, avec une possible réduction de la valeur d’un minimum de 20 % jusqu’à 50 %, craignant l’éventualité d’une partage des charges comme ce fut le cas pour le renflouement de 2017 (dans ce cas, les titres de créance sont convertis en actions, effectivement à une valeur presque nulle).

Le PDG Luigi Lovaglio et les banques du consortium ont quelques jours devant eux pour régler leurs différends et parvenir à un accord de garantie qui permettrait auxAugmentation de capital de 2,5 milliards d’euros pour décoller Lundi 17. De cette manière Consob pourrait approuver le prospectus mercredi.

Le Mef a confirmé sa participation à hauteur de 1,6 milliard, ce qui équivaut à 64% des actions de la banque siennoise ; 900 millions restent à trouver. Le soutien de Axa pour un montant compris entre 100 et 200 millions, tandis que Animaaurait lié son soutien à une révision des accords commerciaux, un fait qui pourrait mettre le PDG Lovaglio en difficulté pour une aide financière présumée pour conclure la transaction extraordinaire.

Les alternatives à l’augmentation de capital

Des hypothèses alternatives s’ouvrent également à ce stade, telles qu’une le report de l’augmentation à décembre ou au premier trimestre de 2023 ou un autre type de transaction. Selon trois sources de l FTDes conseillers auraient suggéré aux députés de commencer à évaluer d’autres moyens de lever des fonds, tels que l’émission d’actions. échange de dette contre des fonds propres et le potentiel vente d’actifs en portefeuille.

Les détails du plan alternatif n’ont pas encore été finalisés et devraient être évalués par la Commission européenne. Autorités réglementaires de l’UE. Dans les conversations avec les banques et les investisseurs, ad Lovaglio a ins ins ins ins ins ins ins ins ins ins que l’augmentation devrait commencer le 17 octobre, mais les analystesbanquiers et investisseurs doute que ça peut continuer.

Institutions dont Mediobanca, Citigroup, Credit Suisse et Bank of America. ont signé une convention de pré-souscription avec Mps. Toutefois, ils ont demandé au groupe Siena d’obtenir des engagements substantiels de la part des investisseurs avant d’accepter de conclure un accord de prise ferme.

Selon plusieurs “banquiers à Milan et quatre investisseurs à Londres”, écrit le FT, “les investisseurs sont peu intéressés par l’accord de renforcement pour des raisons qui vont au-delà de l’environnement de marché négatif actuel”. La banque a connu une série d’augmentations de capital difficiles qui n’ont jamais réussi à la faire accéder à l’indépendance financière. Les sources du journal britannique soulignent précisément cet aspect en plus des milliards de causes en attente.

Lorsque Mps a été mis en vente en 2021, c’était seulement Apollo e Unicredit pour entrer dans la data room, puis Unicredit a fait d’autres demandes au Trésor une fois la diligence raisonnable effectuée, pour finalement décliner l’opportunité. Maintenant, l’augmentation de capital devient également urgente pour financer environ 1 milliard de pré les départs à la retraite de plus de 4 000 employés de Mps et ce fait est perçu positivement par le marché.

Mps, une histoire compliquée de recapitalisations

Mps, qui a commencé son histoire à Piazza Affari en 1999 à un prix d’environ 3,85 euros, valait jusqu’à vendredi 23 septembre 0,3 euro pour 300 millions de capitalisation après une série d’augmentations qui ont fait disparaître la valeur dans les mains des investisseurs. En effet, au cours des 15 dernières années, la banque siennoise a renforcé ses actifs de 5 milliards d’euros en 2008, et en 2009 d’un autre milliard souscrit par l’État par le biais des obligations Tremonti. De nouveau, en 2011, 2,15 milliards d’euros supplémentaires, en 2013 c’était 4 milliards souscrits par l’État (les Monti Bonds). En 2014, c’était encore 5 milliards, en 2015 3 milliards, en 2017 8,3 milliards dont 5,4 milliards payés par l’État au titre de la recapitalisation de précaution et les 2,9 milliards restants au titre de la conversion des emprunts subordonnés. ()

.