Une Ferrari, pour Barclays, peut valoir 400 euros. Voici comment

Economie & Finance

Barclays promeut Ferrari. Elle le fait après un solide troisième trimestre et des prévisions pour l’ensemble de l’année jugées conservatrices. La Rossa, rappelons-le, a dépassé les attentes des analystes avec ses comptes du troisième trimestre de cette année (revenus +23% à 1,54 milliard, ebitda +37% à 595 millions, bénéfice net +46% à 330 millions), à l’exception de la dette nette (233 millions) due à…