Pour les jeunes entreprises, la moitié du financement du capital-risque provient de l’État. Les investisseurs institutionnels ne sont pas prêts à s’engager

Economie & Finance

Les investisseurs institutionnels ne se sont pas manifestés, la présence d’investisseurs privés ne pouvant à elle seule modifier l’équilibre, les grandes entreprises et les banques participant mais moins fortement que dans d’autres pays européens. Résultat : le capital-risque italien reste une affaire d’État. C’est ce que certifie une étude menée par l’Italian Tech Alliance, une association qui regroupe un bon nombre d’acteurs…