Les banques braquent les projecteurs sur les prêts performants. Les plus risqués absorbent 8 milliards de provisions

Economie & Finance

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Pendant près de dix ans, les banques italiennes ont concentré leur attention sur les prêts douteux, d’abord les prêts non performants, puis les prêts non susceptibles d’être remboursés (PNR). Aujourd’hui et surtout dans les années à venir, cependant, l’attention pourrait se déplacer vers les prêts productifs. Dans cette vaste catégorie d’actifs se cache un problème qui peut être très insidieux pour le secteur bancaire italien.