Nous vivons une année de “tempête parfaite” sur les marchés. Nous observons un cycle économique tout à fait anormal, rendu tel par une série de chocs exogènes causés d’abord par la pandémie, puis par la guerre en Ukraine. Le résultat a été une surprise continue dans les données macroéconomiques. La baisse de la croissance n’a pas empêché l’inflation de continuer à augmenter, ce qui a conduit à un environnement de stagflation. Rien dans ce cycle n’a à voir avec ce qui a été observé dans le passé et qui a pour genèse la relation entre l’offre et la demande globales. En fait, les deux se sont effondrés au début de la pandémie. Les premiers, cependant, grâce au soutien de la politique monétaire et fiscale (surtout aux États-Unis) et aux réouvertures qui ont suivi, se sont redressés très rapidement, aboutissant au boom actuel des services. La seconde, en revanche, n’a pas réagi de manière aussi résiliente, générant un ralentissement de la croissance avec, à la base, des goulets d’étranglement dans les chaînes d’approvisionnement. Il va sans dire qu’une demande plus forte exercée sur des biens rares a inévitablement entraîné une escalade des prix.
L’Amérique et l’Europe sont aux prises avec un scénario fortement inflationniste. Aux États-Unis, contrairement au Vieux Continent, l’escalade des prix n’est toutefois pas exclusivement une question de .. ;
Christian Grolier est un rédacteur sport très passionné. Écrire à propos des sports qu‘il adore et partager ses informations avec les lecteurs lui procure une immense satisfaction. En dehors de son travail, il s‘adonne à de nombreuses activités sportives. Il fait de la randonnée, du vélo et de la natation. Il est également un grand fan de football. Christian a également un grand intérêt pour le tennis et les jeux vidéo sportifs.