L’intégration du Crédit Suisse dans l’Ubs prendra non seulement trois à quatre ans, mais sera aussi extrêmement risquée. Tels sont les propos du président d’Ubs, Colm Kelleher, lors de l’assemblée générale du 5 avril.
Ces délais ne tiennent pas non plus compte de la liquidation d’un portefeuille non essentiel dans la banque d’investissement du Crédit Suisse. En outre, poursuit Kelleher, “le montant du capital alloué à la banque d’investissement sera considérablement réduit, en deçà du seuil de 1,5 milliard d’euros. 25% des actifs pondérés par les risques”.
Rassurer sur les réductions d’effectifs
La stratégie d’Ubs “est claire et reste inchangée même après l’acquisition du Crédit Suisse”, c’est-à-dire que la banque continuera à se concentrer sur la croissanceprincipalement dans la gestion de patrimoine et d’actifs, tout en se concentrant sur les opérations dans les années à venir, souligne M. Kelleher.
Vice-président d’Ubs, Lukas Goehwilerenfin rassuré sur d’éventuelles coupes budgétaires emploisÀ court terme, la combinaison des deux banques nécessitera plus de personnel au lieu de moins.
(reproduit de manière confidentielle)
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