First Republic tente de réagir après que le cours de son action s’est à nouveau effondré de 50 %. La banque locale américaine va demander une fois de plus de l’aide aux géants de Wall Street, qui l’ont déjà soutenue en mars avec une injection de 30 milliards de dollars. A double propositionAidez-nous maintenant ou payez davantage lorsque la banque fera faillite.
En d’autres termes, on leur demandera d’acheter des obligations de First Republic à des taux supérieurs à ceux du marché, moyennant une perte de quelques milliards. Par ailleurs, les grandes banques américaines seront obligées de prendre en charge environ 1,5 milliard d’euros. 30 milliards de charges de la Federal Deposit Insurance Corporation en cas de faillite de First Republic. Si la banque locale réussit à convaincre la Les géants de Wall Street d’opter pour la première option, d’autres acteurs pourraient également se manifester et collaborer à la recapitalisation. De cette manière, les géants bancaires supporteraient le coût de la recapitalisation. sauvetage de la Première République pour le bien de l’ensemble du système bancaire, révèle Cnbc.
La chute de 50% du cours de l’action le 25 avril
Le 26 avril, le cours de l’action de la First Republic Bank augmente de 2,7 % avant la mise sur le marché. après la chute de la veille. Le 25 avril, les actions de la banque américaine locale sont ont chuté de 49,38 %. après que les comptes du premier trimestre aient montré une effondrement des dépôts de plus de 100 millions de dollars. La fuite a eu lieu après la faillite de Svb, malgré le renflouement par un pool de banques américaines, dirigé par JpMorgan, qui s’est terminé par une injection de 30 milliards de liquidités à First Republic. L’effondrement du titre a jeté une ombre sur le secteur bancaire et a affaibli les marchés boursiersde l’Europe à Wall Street. Le 25 avril, le Nasdaq a perdu 1,98 %, le S&P 500 1,58 % et le Dow Jones 1,02 %.
La fuite des dépôts
Les ventes ont été déclenchées par la trimestrielle de la Première République, publié le 24 avril alors que les marchés étaient fermés. Les comptes décrivent l’effondrement des dépôts dû à l’effondrement de l’euro. fuite des investisseurs. Au premier trimestre, au plus fort de la crise affectant les banques régionales américaines, les dépôts de First Republic s’élèvent à chutent de 40 pour cent pour atteindre 104,5 milliards d’euros. Depuis, la situation s’est stabilisée, mais les investisseurs ont du mal à faire confiance et craignent une fin identique à celle de la Silicon Valley Bank. La banque locale américaine cherche un moyen de réagir. D’après Bloomberg envisagerait vendre jusqu’à 100 milliards d’actifsdans le cadre d’un plan de restructuration. (reproduit de manière confidentielle)
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