En direct de Wall Street | Les bourses américaines sont incertaines après les rapports trimestriels des grandes banques, Dow Jones -0,3%.

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Cloche d’ouverture – 12 janvier 2024


Wall Street clôture dans l’incertitude après les rapports trimestriels des grandes banques américaines : Dow Jones -0,3%, S&P500 +0,1%, Nasdaq -0,02%. L’incertitude s’était déjà répandue la veille, jeudi 11, après la publication des rapports trimestriels des grandes banques américaines.l’inflation L’inflation américaine a de nouveau dépassé les prévisions. Les investisseurs voient donc les premières réductions de Fed s’éloigner au fil du temps : pour l’instant, les fed funds sont toujours à 5,25-5,5 %, mais alors que la banque centrale américaine a prévu trois réductions en 2024 de 75 points de base au total, les marchés sont plus optimistes et s’attendent à six réductions de 150 points de base au total. Il faudra encore du temps pour voir ce que la Fed décidera de faire (une éventuelle récession aux États-Unis pourrait accélérer la normalisation monétaire). Les tensions croissantes au Moyen-Orient après les bombardements américains et britanniques contre les rebelles houthis du Yémen risquent d’accroître les pressions inflationnistes.

17:45. Les bourses américaines sont dans le rouge après les rapports trimestriels des grandes banques. Tesla et Boeing souffrent

Wall Street poursuit la séance dans le rouge. A 17:45 le Dow Jones a cédé 0,6 %, tandis que leS&P 500 et le Nasdaq a perdu 0,1 %. Parmi les titres échangés sur les bourses américaines, Verizon (+1,9%) se distingue. Elles sont suivies par Walt Disney (+1,1%), Ibm (+0,9%), Chevron (+0,9%) et Coca Cola (+0,5%). En revanche, les plus touchés sont UnitedHealth (-3,9 %), Walgreens (-2,25 %), Intel (-1,8 %), American Express (-1,4 %) et Nike (-1,1 %).

Boeing (-2%) paie pour l’enquête ouverte par la Federal Aviation Administration après la diffusion de la trappe sur l’avion 737 Max-9 d’Alaska Airlines. Encore sous le choc, les passagers à bord du vol ont déposé un recours collectif contre Boeing. Tesla est également en difficulté (-4%) : le constructeur automobile de Elon Musk suspendra une grande partie de la production de l’usine située près de Berlin du 29 janvier au 11 février. Chez Tesla composants manquants car les attaques des rebelles houthis sur la mer Rouge ont allongé les routes, retardant les livraisons. Enfin, le face-à-face entre Apple (flat) et Microsoft (+0,4%) pour le titre de l’entreprise la plus performante en termes de chiffre d’affaires est toujours d’actualité. plus grande capitalisation au monde.

15:30. Les bourses américaines en hausse après les rapports trimestriels des grandes banques

Wall Street ouvre la séance en légère hausse. A 15h30, le Dow Jones augmente de 0,2% tandis que le S&P 500 et le Nasdaq augmentent de 0,4%. Les bourses américaines oublient la hausse de l’inflation supérieure aux attentes apparue le 11 janvier, qui a repoussé les premières baisses de taux de la Banque centrale européenne. Fed. La bonne humeur revient grâce aux données de décembre sur les les prix à la productionont baissé de 0,1% sur une base mensuelle, une surprise positive étant donné que le consensus s’attendait à une augmentation de 0,1%. Sur une base annuelle, cependant, une croissance de 1 % est apparue. Les prix à la production de base ont également été meilleurs que prévu (+0,2 %) et sont restés inchangés, tandis qu’en glissement annuel, l’augmentation a été de 1,8 %.

Le ralentissement des prix à la production est de bon augure pour la nature épisodique de la hausse de l’inflation en décembre. Ainsi, le taux de change euro-dollar reste stable à 1,0976 (+0,05%). Le sentiment positif des investisseurs ressort également des acquisitions de Trésoreriece qui a ramené le rendement du dix ans sous la barre des 4 % (à 3,93 %). Enfin, au cours de la journée, le pétrole (Brent et Wti +3,25%) après les raids américains et britanniques contre les rebelles au Yémen. Aux Etats-Unis, c’est également le jour de l’ouverture de la conférence de l saison des rapports trimestriels, inaugurée par les grandes banques (lire ci-dessous). Voici cinq valeurs à surveiller le vendredi 12 janvier.

1. Les bénéfices “record” de Jp Morgan grâce à First Republic

A 15h30, l’action Jp Morgan a augmenté de 2,3%. Le bénéfice de la plus grande banque américaine a chuté en raison de l’impact de la crise financière. 2,9 milliards d’euros de commissions déboursés pour le sauvetage des banques régionales américaines en difficulté au cours du premier semestre 2023. I bénéfices Les bénéfices trimestriels ont chuté de 15 % par rapport à l’année précédente pour atteindre 9,31 milliards de dollars (3,04 dollars par action), tandis que le bénéfice net de l’entreprise a diminué de 10 %. revenus ont augmenté à 39,94 milliards (+12%), au-dessus des 39,78 milliards attendus. L’année 2023, en revanche, a été “record” (dixit le CEO Jamie Dimon) grâce aux presque 50 milliards de bénéfices générés, dont 4,1 milliards proviennent de l’acquisition de First Republic.

2. BofA paie pour la baisse de ses bénéfices

À 15h30, les actions de Bank of America perdent 0,65%. BofA prévoit également une baisse des bénéfices au quatrième trimestre pour le groupe. fardeaux réglementaires liées au sauvetage des banques régionales américaines. Bank of America a enregistré une perte de bénéfice net de 3,1 milliards (35 cents par action), en baisse de plus de 50 pour cent par rapport aux 7,1 milliards du quatrième trimestre 2022. Si l’on exclut la commission gouvernementale, les bénéfices auraient atteint 3,1 milliards d’euros (35 centimes d’euro par action). 70 cents par actionsoit moins que les 85 cents par action du dernier trimestre de 2022.

3. Wells Fargo craint une baisse de la contribution des intérêts en 2024

A 15h30, le cours de l’action Wells Fargo perdait 2%. Au quatrième trimestre, les bénéfices de la banque américaine ont augmenté grâce à la contribution des taux d’intérêt et à la réduction des coûts. Well Fargo a ainsi enregistré 3,45 milliards de bénéfices nets (86 cents par action), plus que les 3,16 milliards (75 cents par action) du quatrième trimestre 2022. I revenus ont plutôt augmenté à 20,48 milliards (+2%), au-dessus des 20,3 milliards attendus. Wells Fargo craint cependant que la contribution des taux ne soit “significativement plus faible“en 2024, ce qui nuit au titre. De même, parce que le dispositions pour pertes éventuelles ont augmenté de 34 % pour atteindre 1,28 milliard d’euros.

4. Citigroup supprime 20 000 employés après une perte de 1,8 milliard d’euros.

À 15h30, l’action de Citigroup a augmenté de 3 %. La banque américaine a enregistré un perte de 1,8 milliard au quatrième trimestre en raison des dépenses liées aux risques étrangers (dévaluation du peso argentin par exemple), de la crise bancaire régionale et de la réorganisation de l’entreprise imposée par la PDG Jane Fraser. L’impact global sur les résultats trimestriels était de 4,66 milliards : sans cela, les bénéfices auraient atteint 84 cents par action. Après le gros rouge, Citigroup a annoncé un réduction de 20.000 employésl’action s’est donc redressée et a également oublié la revenus trimestriels ont baissé de 3 % pour atteindre 17,44 milliards d’euros, soit moins que les 18,74 milliards d’euros attendus.

5. BlackRock dépasse les 10 000 milliards d’euros d’actifs sous gestion

À 15 h 30, l’action BlackRock gagne 0,5 %. Le plus grand gestionnaire d’actifs au monde a terminé l’année 2023 avec plus de 10 000 milliards d’euros d’actifs sous gestion. d’actifs sous gestion (+16%). I revenus sont restés stables à 17,859 milliards d’euros, tandis que lesbénéfice net a atteint 5,502 milliards d’EUR (+6 %). BlackRock a également annoncé l’acquisition de Global Infrastructure Partners pour 12,5 milliards d’euros. Il s’agit de la plus importante transaction depuis 2009, ce qui aidera le géant dirigé par le président-directeur général. Larry Fink à renforcer dans le secteur des infrastructures. ()