Dovalue fait appel à Gardant. Négociations préliminaires avec Elliott en cours. Procès de risiko entre les servicers

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Preuve de la consolidation de l’économie de l’Union européenne crédit douteux. Dovaluele plus grand fournisseur de services de gestion d’Italie, aurait entamé des négociations préliminaires avec Elliott en vue de l’acquisition de Gardant. Jeudi 11 janvier Bloomberg a confirmé les rumeurs rapportées par MF-Milano Finanza Mercredi 3 janvier : les entreprises, assistées par des conseillers financiers, auraient entamé des discussions afin d’évaluer la possibilité d’une fusion. regroupement. Si l’opération aboutit, elle donnera naissance au premier opérateur italien du secteur.

Intérêt pour Gardant

Aujourd’hui, le fournisseur de services dirigé par Mirko Briozzo et présidé par Flavio Valeria plus d’un élément pour aiguiser les appétits : elle fait partie des six premiers acteurs du secteur avec environ 44 milliards de crédits sous gestion, 20 milliards de positions dans les services spéciaux et 1,2 milliard d’investissements dans les expositions non performantes.

Ces dernières années, le groupe, contrôlé par le fonds Elliotta conclu d’importants accords, d’abord avec Carige, Banco Bpm et ensuite avec Bper, devenant ainsi le troisième pôle du secteur. La conclusion de l’accord avec Bper, qui prévoit la création d’une coentreprise pour la gestion des prêts non performants, mais surtout de l’utp, est attendue pour le début de l’année et aura un effet significatif sur la valorisation de la société.

L’opération de montée

Sur le papier, en résumé, les prémisses d’une opération sont toutes réunies, même si l’opération est difficile. Les raisons ? Tout d’abord, il y a la question de l’évaluation. En effet, pour Prelios Ion Group est prêt à payer 9,5 fois l’ebitda du groupe : ce multiple pourrait devenir une référence stimulante pour d’autres transactions dans le secteur et, dans le cas de Gardant, se traduirait par une valeur totale de près de 1,5 milliard d’euros. 250 millions d’euros.

Secondairement Elliott n’a pour l’instant pas entamé de processus formel de vente de l’actif italien. Troisièmement, l’action du groupe contrôlé par le holding japonais SoftBank et dirigé par la PDG Manuela Franchi traverse une phase de faiblesse et – après avoir perdu près de 60 % au cours de l’année écoulée, s’établissant aujourd’hui juste au-dessus de 3 euros – ne semble pas particulièrement adaptée à une transaction papier-papier. Toutefois, ces difficultés peuvent être contournées si un actionnaire aux épaules larges, tel que Manuela Franchi, s’y intéresse. SoftBank (qui capitalise 64 milliards d’USD) croyait fermement en la transaction.