Jeudi 8, la Banque centrale européenne a rejoint le club des 75 points de pourcentage, en relevant ses trois taux directeurs de 0,75 % chacun. Il s’agit d’une augmentation de 1,25 point de pourcentage depuis que la BCE a décidé tardivement de relever ses taux en juillet dernier, dans un contexte de craintes croissantes de récession en Europe.
Le choix forcé de Lagarde
Le président de la BCE, Christine Lagarden’avait guère le choix, car l’inflation dans la zone euro a atteint 9,1 % en août. Ce qui a commencé par une augmentation des prix de l’énergie et de certaines denrées alimentaires s’est étendu à une augmentation des prix de tout et ne montre aucun signe de ralentissement.
Lagarde a agi tardif que la plupart de ses collègues pour contrer ce danger, mais il agit maintenant avec empressement et crédibilité, jusqu’à un certain point. En juillet, elle a surpris les marchés avec une hausse des taux d’un demi-point de pourcentage, alors que les investisseurs ne s’attendaient qu’à un quart de point. Il s’est montré plus discipliné que le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, en refusant de proposer des orientations futures qui pourraient semer la confusion sur les marchés et jeter le doute sur sa détermination.
Cependant, l’annonce du jeudi 8 ne contenait aucune indication sur le moment où la BCE pourrait commencer à réduire la taille de son bilan, ne renouvelant pas l’engagement de la Banque centrale européenne. obligations de gouvernement dans…;
 ;
Christian Grolier est un rédacteur sport très passionné. Écrire à propos des sports qu‘il adore et partager ses informations avec les lecteurs lui procure une immense satisfaction. En dehors de son travail, il s‘adonne à de nombreuses activités sportives. Il fait de la randonnée, du vélo et de la natation. Il est également un grand fan de football. Christian a également un grand intérêt pour le tennis et les jeux vidéo sportifs.