Réduire le nombre de députés, mais pas les dépenses. L’enquête sur tous les comptes de Montecitorio

Economie & Finance

A l’époque, elle a été présentée comme la réforme copernicienne des coûts anormaux de la politique. Mais elle s’est révélée être un mouvement en plein style gattopardesco. Tout changer pour ne rien changer.

La forte réduction du nombre de parlementaires italiens, entre la Chambre et le Sénat, ramené de 945 à 600 (de 630 à 400 à Montecitorio et de 315 à 200 à Palazzo Madama) devait être le symbole d’une…