Eni, pour Barclays, la capitalisation peut doubler pour atteindre 100 milliards. Voici pourquoi

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Pour Barclays, l’Italien Eni représente une anomalie dans le paysage énergétique européen. L’entreprise dirigée par le PDG Claudio Descalzi est unique, car avec sa capitalisation d’environ 50 milliards d’euros (55 milliards de dollars), elle se situe entre deux blocs, entre le groupe des géants européens de plus de 100 millions d’euros et le groupe de l’Union européenne de plus de 100 millions d’euros. 100 milliards de dollars de capitalisation boursière et celle de concurrents plus petits avec une valeur de marché d’environ 20 milliards de dollars.

Pour entrer dans le club des 100 milliards, “Eni aurait besoin d’une bonne dynamique opérationnelle et du soutien des prix du pétrole et du gaz”, expliquent les analystes de Barclays. “Pour l’instant, ce pic est exagéré, mais un objectif provisoire de 100 milliards d’euros a été fixé. 75 milliards est réalisable. Eni a été le titre énergétique le plus performant de notre zone de couverture en 2023 et la dynamique opérationnelle, soutenue par des rendements en espèces attrayants, permettra à l’entreprise d’atteindre un niveau de rendement de 75 milliards d’euros. surperformance du prix de l’action en 2024″.

Le moteur de la transition énergétique

Plusieurs raisons vont faire évoluer le cours de l’action Eni dans les mois à venir. Pour Barclays, “la l’activité en amont se développe plus rapidement que ses concurrents à forte capitalisation, avec une bonne visibilité du pipeline à court terme et des bénéfices plus étroitement liés aux prix des matières premières”. En outre, Eni “dispose d’une stratégie claire pour améliorer l’image de marque de l’entreprise”. l’activité en aval avec la transition énergétique”.

En particulier, le chien à six pattes bénéficiera de la “croissance du secteur de l’énergie”. biocarburantsqui exploite un modèle d’intégration des matières premières”. Plénitudea ensuite “atteint ses objectifs à court terme et la vente récente d’une participation minoritaire a permis une évaluation de 10 milliards”. Eniliveenfin, “pourrait être un autre moteur de croissance”.

Barclays croit en une capitalisation de 100 milliards

Ce sont les raisons pour lesquelles Barclays réaffirme l’hypothèse d’une capitalisation de 100 milliards d’euros. surpondérationavec un objectif de prix de 19 euros par action. Les analystes de la banque britannique estiment que l’évaluation du chien à six pattes “n’est pas surévaluée, compte tenu de l’évolution de l’économie”. rendement du dividende environ 20 % de plus que la moyenne estimée du secteur en 2024/25″.

En fait, Eni pourrait aller bien au-delà de l’objectif provisoire de capitalisation de 75 milliards indiqué par les analystes de Barclays : “Avec les bonnes conditions de marché, l’évaluation d’Eni pourrait atteindre 100 milliards à partir des 55 milliards actuels, égalant les plus grandes supergrands mondiaux. Dans ce cas, l cours de l’action passerait de 14,63 euros le matin du 17 janvier à 28 euros par action (-2%).

La deuxième tranche du rachat atteint 1,15 milliard d’euros

Afin de relancer le cours de l’action, Eni a poursuivi la deuxième tranche de son programme de rachat d’actions pour un montant de 1,15 milliard d’euros. rachat décidée par l’assemblée générale des actionnaires le 10 mai 2023. Entre le 8 et le 12 janvier 2024, la société a racheté 4 493 371 actions propres, soit 0,13 % du capital social, à un prix moyen pondéré de 15,0289 euros par action et pour une valeur totale de 1,2 milliard d’euros. 67,5 millions. Depuis le début de la deuxième tranche, le 4 septembre 2023, Eni a acheté 76 028 585 actions propres, soit 2,25 % du capital social, pour un montant total de 1,5 million d’euros. 1,15 milliard. L’entreprise détient désormais 4,92 % des actions. ()