Wall Street poursuit sa séance mitigée. A 17:30 les Dow Jones augmente de 0,2 %, leS&P 500 de 0,1 %, tandis que la Nasdaq est en hausse de 0,1 %. Selon le président de la Fed de Richmond, Tom Barkinla cure de la banque centrale américaine fait son effet. La hausse des taux a provoqué un ralentissement de l’économie, “et il est plausible que l’affaiblissement de la demande contribue déjà à faire baisser les taux d’intérêt”.l’inflation inférieure à 2 %”, pense Barkin.
Pour le banquier central, le marché du travail “a presque atteint un meilleur équilibre et la pression sur les salaires s’est relâchée. De plus, la plupart des entreprises pensent que la pire période pour les prix est derrière nous”. Pour Barkin, cependant, la trajectoire de l’inflation “n’est pas encore claire“et la Fed marche sur un “ligne mince“: elle ne doit pas faire de corrections excessives pour ne pas nuire à l’économie, mais elle doit éviter les interventions trop légères sous peine de voir l’inflation réapparaître.
Rendement du Trésor proche de 5
Les propos de Barkin permettent d’éviter un nouveau resserrement de la Fed. L’euro gagne donc du terrain sur le dollarLe taux de change est passé à 1,0592 (+0,32%). Mais le fait le plus marquant est la hausse des rendements des emprunts d’Etat américains. Celui de la Trésor Le Trésor à 10 ans touche 4,809% (+0,099%) tandis que le Trésor à 30 ans se situe dans les 5%. Les obligations sont toujours affectées par la possibilité que les taux restent élevés pendant longtemps, comme l’ont montré les minutes de la réunion du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne. Fomc.
Les derniers chiffres de l’inflation n’ont pas démenti ce discours. Les investisseurs attendent donc avec impatience le discours de Jerome Powell du 19 octobre, à la recherche de nouveaux indices. Sur le front macroéconomique, les données sur la production industrielle et les ventes au détail sont accompagnées de l’indice des prix à la consommation (IPC).Indice Nahb sur l’évolution du marché immobilier : il s’est établi à 40 points en octobre, contre 45 points en septembre. Ce chiffre est inférieur au consensus de 44 points. Enfin, une session faible pour le pétroleLes prix du Brent et du Wti baissent de 0,5 %.
15:30. Les bourses américaines dans le rouge. Les comptes de Goldman Sachs sont en baisse, ceux de BofA sont bons.
Wall Street ouvre la séance dans le rouge. A 15h30, le Dow Jones cède 0,2%, le S&P 500 0,6% et le Nasdaq 1,1%. La saison des rapports trimestriels La crise financière bat son plein avec Goldman Sachs et Bank of America, après que les comptes de Jp Morgan ont dépassé les attentes. L’économie envoie également de bons signaux : l’indice des prix à la consommation de la production industrielle et les ventes au détail ont dépassé les attentes. La production industrielle a augmenté de 0,3 % d’un mois sur l’autre en septembre (consensus +0 %), contre -0,1 % en août.
Le ventes au détailont augmenté de 0,7 % sur une base mensuelle, moins que les +0,8 % du mois d’août, mais toujours au-dessus des attentes (+0,3 %). Les données continuent d’indiquer des dépenses de consommation robustes malgré les prix élevés et les charges financières. Il est donc à craindre que la résilience de l’économie ne pousse l’euro à la baisse. Fed à une nouvelle hausse des taux d’ici la fin de l’année 2023. Un risque qui pourrait être confirmé par le gouverneur Jerome Powellqui prononcera un discours à l’Economic Club de New York le jeudi 19. Voici cinq valeurs à surveiller mardi 17 octobre.
1. Goldman Sachs paie pour ses investissements dans la fintech et l’immobilier
A 15h30, les actions de Goldman Sachs sont en hausse de 0,4% après la publication des comptes. Au troisième trimestre, lebénéfice net de la banque américaine a atteint 2,06 milliards de dollars, soit 5,47 dollars par action. Ce chiffre est inférieur aux 3,07 milliards de dollars, soit 8,25 dollars par action, enregistrés au cours du même trimestre de 2022. Les revenus ont diminué, quoique légèrement, à 11,82 milliards d’euros (-1%) en raison de mauvais résultats d’investissement dans le secteur des produits finis et de l’immobilier. Les comptes sont cependant meilleurs que prévu grâce à la contribution de la banque d’investissement et de la négociation d’obligations.
2. La croissance représente Bank of America (Banque d’Amérique)
A 15h30, les actions de Bank of America sont stables. L’bénéfice net Le bénéfice net trimestriel de la banque de Wall Street a atteint 7,8 milliards (+10%), soit 90 cents par action, au-dessus des 83 cents attendus par les analystes. Le revenus ont atteint 25,2 milliards d’euros (+3%), soit un peu plus que les 25,1 milliards d’euros attendus, en partie grâce à l’augmentation des taux, qui a gonflé le chiffre d’affaires. marge d’intérêt (+4%). Bank of America a toutefois fait état d’une augmentation de la marge d’intérêt de pertes non réalisées dans le portefeuille de titres – achetés lorsque les taux étaient bas – qu’elle prévoit de conserver jusqu’à l’échéance : les pertes latentes se sont élevées à 131,6 milliards d’EUR, contre 105,8 milliards d’EUR à la fin du mois de juin.
3. L’iPhone 15 de Apple ne parvient pas à percer en Chine
À 15h30, le cours de l’action Apple a chuté de 1,6 %. Le PDG de Cupertino, Tim Cooka fait une visite surprise à Chine après des chiffres insatisfaisants concernant l’iPhone sur le marché des Dragons. Les données montrent une baisse des ventes de iPhone 15 de 4,5 % par rapport à l’iPhone 14. Cook s’inquiète également de la concurrence du rival chinois Huawei, qui a lancé un nouveau téléphone haut de gamme.
4. Johnson & ; Johnson dépasse les attentes
À 15h30, les actions de Johnson & ; Johnson augmentent de 0,2 pour cent. Au troisième trimestre, les bénéfices et les ventes de la multinationale fabriquant des médicaments et des équipements médicaux ont augmenté ont dépassé les attentes. J&J a enregistré un bénéfice par action ajusté 2,66 $ sur 21,35 milliards de dollars revenustandis que le analystes attendaient 2,52 dollars par action pour un chiffre d’affaires de 21,04 milliards d’euros.
5. Microsoft : LinkedIn licencie pour réduire les coûts
À 15h30, le cours de l’action Microsoft perdait 0,7 %. Croissance du chiffre d’affaires de LinkedIn ralentit. Ainsi, le réseau social qui appartient à la Big Tech fondée par Bill Gates a commencé à licencier des employés pour réduire les coûts. Le 16 octobre, LinkedIn a supprimé près de 700 employés selon le Cnbc malgré l’augmentation du nombre de membres, qui s’est accélérée ces dernières années. ()
Christian Grolier est un rédacteur sport très passionné. Écrire à propos des sports qu‘il adore et partager ses informations avec les lecteurs lui procure une immense satisfaction. En dehors de son travail, il s‘adonne à de nombreuses activités sportives. Il fait de la randonnée, du vélo et de la natation. Il est également un grand fan de football. Christian a également un grand intérêt pour le tennis et les jeux vidéo sportifs.