L’impôt sur les bénéfices supplémentaires, Bankitalia, Abi et les partenaires sociaux doivent également être consultés.

Economie & Finance

Mardi 26, le Sénat devrait approuver le projet de loi sur l’impôt sur les bénéfices supplémentaires. Décret sur les actifs. Alors qu’il semble que sur l’imposition des prétendus bénéfices supplémentaires des banques, le gouvernement a l’intention de déposer un amendement, après qu’il ait été examiné par les commissions compétentes. irrecevable cent sur plus de 500Pour l’instant, sur la liste unique du conseil d’administration des sociétés cotées pour l’élection des membres des organes sociaux, sur laquelle des amendements et sous-amendements ont été déposés dans les commissions, aucun amendement du gouvernement n’est annoncé, après que l’Assemblée nationale a été saisie au fond. il avait été question d’un maxi – amendement de l’exécutif sur l’ensemble de la question. En ce qui concerne la liste du Conseil, il est bon de préciser, étant donné la confusion qui se développe à ce sujet, que la liste du Conseil n’a pas été modifiée. recevabilitémais plutôt les critères et les contraintes, ainsi que l’encadrement d’une telle liste dans le processus électoral.

Révision de l’impôt

C’est ce nœud qui doit être dénoué par l’exécutif. En ce qui concerne l’impôt sur les bénéfices supplémentaires, une orientation se développe au parlement qui suppose que point de référence les actifs pondérés des institutionsau lieu de la marge d’intérêt, avec toutes les graves conséquences masochistes de ce dernier paramètre, puisque le rendement des obligations d’État serait également inclus dans le poste du bilan relatif à la marge, qui serait donc taxée. Il serait également révisé le pourcentage d’imposition. Cette hypothèse, si elle devait être consolidée, nécessiterait une évaluation approfondie, en partant du principe que, comme on peut le voir dans le tableau ci-dessous, le pourcentage d’imposition a été revu à la hausse. avis de la BCEla règle en question devra être révisée en profondeur. Il convient de noter que cet avis n’est pas contraignant. Toutefois, comme il touche à des points fondamentaux de la réglementation bancaire, de l’action des autorités de contrôle et de la gestion saine et prudente, s’en écarter ouvrirait la voie à une phase qui n’est pas la plus souhaitable, compte tenu de l’objectivité des propos.

Il ne faut pas non plus oublier les critiques de l’Abi qui ne peuvent être surmontées ni par la mise en évidence de ce que les banques auraient pu et dû faire en matière de rémunération des dépôts et n’ont pas fait, ni par une conception qui n’ancre les protections constitutionnelles que dans la protection des parties contractantes faibles, qui doivent certes être protégées avec détermination, mais qui n’exclut pas la protection d’autres parties, en l’occurrence les banques.

Impliquant la Banque d’Italie et les banques

En résumé, on ne peut pas penser rectifier ce que l’on considère comme une erreur ou, à la limite, comme une tergiversation – si l’on peut légitimement en parler – avec un forcing important qui va à l’encontre de ce que la BCE a réaffirmé et des principes du système. Ces derniers ne peuvent être disséqués, en fonction des sujets auxquels des règles spécifiques doivent être appliquées, étant fondamental, si tant est qu’il s’agisse de l’économie de marché, de l’économie de marché. l’équilibre entre les différentes positions qui méritent toutes d’être protégées. Le lien avec l’actif pondéré doit tenir compte de l’un des principes indiqués par la Consulta lorsqu’elle a rejeté la taxe Robin, à savoir le lien étroit qui doit exister entre le bénéfice supplémentaire (à supposer que l’on puisse en parler à juste titre) et l’impôt. En résumé, comme cela a été écrit à d’autres occasions, la législation en question devrait être modifiée également en ce qui concerne les personnes qui doivent l’appliquer et sa non-rétroactivité, en se basant sur le nouveau texte. les avis non sollicités de la Banque d’Italie, de l’ABI et des partenaires sociaux.. Il convient de rappeler – car sans histoire, même dans ce domaine, il n’y a pas d’avenir – que lorsque les spreads du Btp-Bund, à un certain moment des années 1990, atteignaient 900 points de base un jour donné, le gouverneur de l’époque, le président de la Banque d’Italie, s’est empressé d’en parler à ses collègues. Antonio Fazio convoque les principaux banquiers. Il leur expliqua les avantages pour leurs banques, pour l’État et pour l’économie de l’achat d’obligations publiques, qui eut lieu ponctuellement, initiant ainsi la descente des spreads. Il s’agissait d’une action de persuasion morale la persuasion fondamentale et décisive par ceux qui connaissaient parfaitement le gouvernement de l’argent. Aujourd’hui, le besoin s’en fait sentir. On pourrait dire aujourd’hui “de te fabula narratur” concernant les relations entre la Banque d’Italie et le gouvernement et entre la Banque d’Italie et les banquesmême si la première n’a plus de pouvoirs en matière de politique monétaire.

On peut sortir de l’affaire fiscale soit en retrouvant de la crédibilité et de la fiabilité vis-à-vis des marchés, qui ont été désorientés en interprétant la législation comme un signe avant-coureur d’autres forçages, soit avec des mesures à l’équilibre qui finissent par ressembler à ceux qui sont “au regret de Dieu et aux ‘ennemis’ sui”, pour ne pas prendre, dans notre cas, le droit chemin d’une réparation substantielle. Espérons que cela n’arrivera pas. ()